1 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Georges Dor |
Date de création
| 1996-11-07 |
Durée du segment | 00:55:28 |
Invités | Dor Georges, auteur-compositeur-interprète |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Georges Dor vient de publier le livre "Anna Braillé ène shot (Elle a beaucoup pleuré)", un essai sur le langage parlé des Québécois. On s'entretient avec lui de l'état de la langue au Québec. L'entrevue est suivie d'une tribune téléphonique. |
Mots clés | Culture — Langue — Littérature — Livre et édition — Société |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2001-07-24. |
Identifiant | 1348952 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | La pensée de Léon Dion |
Date de création
| 1998-09-30 |
Durée du segment | 00:53:00 |
Invités | Dion Denyse, auteur, épouse de Léon Dion; Beaudoin Gérald, politicien féderal, sénateur |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Maisonneuve s'entretient avec l'épouse de Léon Dion, Denyse Dion et le sénateur Gérald Beaudoin, au sujet de la pensée intellectuelle du politicologue Léon Dion, à l'occasion de la publication de son dernier essai "La révolution déroutée 1960-1976". Une tribune téléphonique suit l'entrevue. |
Mots clés | Essai — Histoire — Littérature — Politique — Société |
Identifiant | 1348826 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Lancement du 14e album de Raoul Duguay |
Date de création
| 1999-11-24 |
Durée du segment | 00:51:51 |
Invités | Duguay Raoul, auteur-compositeur-interprète |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, intervieweur; Mathon Gérald, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | À 60 ans, après 17 années de silence, Raoul Duguay lance un nouvel album. Ayant tenté sa chance, il y un an, en politique provinciale en s'étant présenté contre Pierre Paradis, il dit ne pas regretter son expérience mais il demeure un souverainiste convaincu. La pauvreté et la misère des jeunes sont ses préoccupations importantes. À 16 ans, il était en rébellion contre la religion et il trouve que les jeunes ne s'impliquent pas assez. Aujourd'hui, il se dit révolté contre les grandes banques qui font des mises à pied de masse tout en faisant des profits énormes. En examinant sa carrière des 40 dernières années, il dit avoir apporté à la société québécoise de la folie créatrice. Le public s'adresse à l'invité grâce à une tribune téléphonique. |
Mots clés | Chanson — Culture — Littérature — Poésie — Politique — Société |
Identifiant | 748117 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | Hommage au père Georges-Henri Lévesque |
Date de création
| 2000-01-17 |
Durée du segment | 00:26:00 |
Invités | Valcour Pierre, réalisateur, ami ; Rocher Guy, sociologue, ami |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Pierre Valcour et Guy Rocher tracent un portrait du père Georges-Henri Lévesque et lui rendent hommage. Ils évoquent la fondation de la Faculté des sciences sociales par le père Georges-Henri Lévesque et le fait qu'il ait été parfaire sa formation en France, la formation en science sociale dans les années '30 relevant souvent du type de l'essai au Québec. Pour eux, le père Lévesque était un homme de coeur et de synthèse. Ils racontent quelques souvenirs alors qu'ils suivaient ses cours et soulignent que le père Lévesque a formé plusieurs personnalités du Québec. Ils rappellent que les facultés de sociologie étaient un lieu de contestation et que père Lévesque n'était pas l'ennemi de Maurice Duplessis mais dérangeait grandement le clergé, le gouvernement et la vie universitaire, qu'il était en faveur de la déconfessionnalisation et qu'il a été mêlé à la grève d'Asbestos. Selon eux, dans son quotidien, Georges-Henri Lévesque était un homme très sensible, il se préoccupait énormément des artistes comme l'indique son implication dans la commission Massé. Ils donnent les raisons de son départ pour le Rwanda, où il a ouvert une université. Le père a été grandement affecté par l'incendie qui s'est produit à la maison Montmorency et par le génocide au Rwanda. Ils concluent en disant que le père Lévesque occupe une place importante dans l'histoire du Québec et du Canada. |
Mots clés | Éducation — Histoire — Politique — Religion — Société — Sociologie — Syndicalisme |
Identifiant | 1188193 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
MAISONNEUVE A L'ÉCOUTE
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Titre du segment | La Crise d'octobre |
Date de création
| 2000-10-10 |
Durée du segment | 00:50:24 |
Invités | Tetley William, politicologue, ancien ministre du gouvernement Bourassa ; Ryan Claude, journaliste, ancien directeur du journal "Le Devoir" ; Lalonde Marc, politicologue, ancien chef de cabinet de Pierre Elliott Trudeau ; Lemieux Robert, ancien avocat des felquistes |
Artisans | Maisonneuve Pierre, journaliste, animateur ; Mathon Gérald, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dès le début de la Crise d'octobre, deux thèses étaient soulevées: négocier ou ne pas négocier avec le FLQ. Marc Lalonde et Pierre Elliott Trudeau favorisaient la ligne dure, alors que Claude Ryan et René Lévesque favorisaient la négociation. Les invités élaborent sur cette possibilité de négocier ou non et justifient leur position respective. Marc Lalonde indique que céder au chantage n'arrête pas le terrorisme alors que Claude Ryan rappelle que la crise s'est tout de même terminée par une négociation alors qu'on a envoyé des gens en exil. Robert Lemieux rappelle que deux personnes avaient été enlevées, soit Pierre Laporte et James Cross, et qu'il y avait eu des négociations. Puis, ce fut l'arrêt des négociations alors qu'on ne voulait pas laisser partir quelques personnes en exil. Après 30 ans, Marc Lalonde et Claude Ryan sont convaincus que leurs positions à l'époque étaient les bonnes malgré qu'elles étaient diamétralement opposées. Claude Ryan affirme que le gouvernement Bourassa donnait l'impression d'un gouvernement faible à l'époque. Marc Lalonde considère comme irrersponsable la pétition signée par 16 des plus influents leaders intellectuels du Québec à l'époque, de Claude Ryan aux centrales syndicales en passant par le mouvement Desjardins, étant donné qu'on demandait la libération de prisonniers politiques. Claude Ryan indique que le but de cette pétition était d'éviter les mesures draconiennes des mesures de guerre. C'est par la suite que la Loi sur les mesures de guerre a été proclamée aux Communes, à la demande du gouvernement Bourassa et du maire Drapeau, qui appréhendaient une insurrection. |
Mots clés | Indépendantisme — Politique — Société |
Remarques sur le document | 30e anniversaire de la Crise d'octobre |
Identifiant | 1247724 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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